mercredi 8 octobre 2014

Des chercheurs prouvent qu’il y a une vie après la mort


Des scientifiques de l’Université de Southampton, au Royaume-Uni, ont mené une vaste expérience sur ce qui se passe après notre mort. Les résultats nous laissent sans voix : ils ont découvert que nous étions conscients après notre décès … Une actualité qui rassurera les thanatophobes …

Pendant quatre longues années, les chercheurs de cette institution britannique ont mené une étude sur 2060 patients qui avaient tous subi un arrêt cardiaque. Près de 40% de ceux qui ont survécu à cette épreuve, ont décrit une « sensation étrange de conscience » alors qu’ils étaient dans un état de mort clinique ! Ces résultats prouveraient que la conscience se poursuit alors que le corps est sans vie.

Le Docteur Sam Parnia explique au Daily Mail :

« Les preuves suggèrent que, dans les premières minutes après la mort, la conscience n'est pas annihilée. Nous ne savons pas si elle s'estompe ensuite mais directement après la mort, la conscience n’est pas perdue. »

Un travailleur social, âgé de 57 ans, a participé à cette étude. Il affirme que quand son cœur s’est arrêté de battre, il a quitté son corps, assistant de loin au soin qui lui était donné. L’homme est resté dans cet état pendant trois minutes. A son réveil, il a été capable de décrire, avec une précision déconcertante, les soins qu’il avait reçus et le bruit des machines qui s’agitaient près de lui.

Ce récit a sérieusement mis à mal les convictions que les chercheurs possédaient en cet épineux domaine. Le Dr Parnia précise :

« Nous savons que le cerveau ne peut pas fonctionner quand le cœur a cessé de battre. Mais dans ce cas, l’état de conscience semble s’être poursuivi durant les trois minutes où le cœur du patient avait cessé de battre, alors que le cerveau «s’éteint» généralement dans les 20 à 30 secondes après que le cœur a cessé de battre. »

Avant cette étude, les médecins « supposaient que les expériences relatées de vie après la mort étaient en réalité des hallucinations survenant soit avant que le cœur se soit arrêté, soit après que le cœur a été redémarré avec succès mais pas une expérience correspondant à des événements réels lorsque le cœur du patient ne battait plus. »

Il est aussi important de noter que « les souvenirs racontés étaient compatibles avec les faits ».

39% des patients questionnés ont expliqué qu’ils se rappelaient avoir eu conscience de ce qui leur arrivait. Hélas, ils ne se souvenaient pas des moindres détails. Le Dr Parnia conclut :

« La mort n'est pas un moment précis mais un processus potentiellement réversible, qui survient après une maladie grave ou un accident et qui fait que le cœur, les poumons et le cerveau cessent de fonctionner. Lorsque l'on tente d'inverser ce processus, on parle d'arrêt cardiaque. Mais si on n'y parvient pas, on parle de mort. »

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