"La Médium et l'Enquêteur face aux grandes affaires criminelles"
est un ouvrage fascinant écrit par Karl Zéro et Geneviève Delpech,
explorant les frontières entre la médiumnité et l'enquête
criminelle. Le livre pose la question troublante de savoir s'il est
réellement possible de communiquer avec les défunts et d'obtenir
des informations cruciales dans des affaires criminelles en
utilisant des capacités paranormales.
À travers une approche innovante, Karl Zéro met au défi
Geneviève Delpech, une médium renommée, en lui envoyant uniquement
un visage et un prénom par SMS, sans aucune autre source
d'information, pour tester ses facultés. Les résultats sont
stupéfiants, avec des révélations déconcertantes qui se révèlent
souvent être exactes, défiant toute explication rationnelle.
Dans cet ouvrage, Karl Zéro partage les résultats de ces
expériences, mettant en lumière les "fulgurances" de la médium qui
ont été sollicitées par la police dans de nombreuses affaires. Ces
insights fournissent un aperçu fascinant des capacités humaines
encore largement méconnues, jetant un éclairage nouveau sur le
processus d'enquête et la compréhension des mystères qui entourent
les affaires criminelles.
"La Médium et l'Enquêteur face aux grandes affaires criminelles"
nous offre une perspective troublante sur le potentiel inexploité
des facultés psychiques dans le domaine de la résolution des
crimes. Cet ouvrage invite les lecteurs à repenser leurs
perceptions sur la nature de la réalité et des capacités
humaines.
Auteur : Karl Zéro, Geneviève Delpech ISBN 10 : 2266324071 ISBN 13 : 9782266324076 Nombre de pages : 288 Editeur : Pocket Date de publication : 22 septembre 2022
Ala Kachuu, également orthographié ala kachuu ou alaqachuu, est une pratique culturelle controversée et préjudiciable qui est répandue dans certaines régions d'Asie centrale, notamment au Kirghizistan. Cette pratique, également connue sous le nom de "kidnapping pour le mariage", implique l'enlèvement d'une femme ou d'une jeune fille par un homme ou un groupe d'hommes dans le but de l'épouser de force. Le terme "Ala Kachuu" se traduit littéralement par "prendre et courir" en kirghiz.
Histoire
L'origine précise de l'Ala Kachuu est sujette à débat, mais il
est largement admis qu'il s'agit d'une pratique enracinée dans les
traditions patriarcales et les normes sociales dans certaines
communautés d'Asie centrale. Cette pratique a persisté pendant des
siècles malgré les efforts de divers groupes pour la combattre.
Pratique
Dans les cas typiques d'Ala Kachuu, les ravisseurs ciblent
généralement des femmes ou des filles célibataires, bien que des
cas de femmes mariées étant enlevées aient également été signalés.
Les raisons de ces enlèvements sont variées, mais elles incluent
souvent des motifs tels que le désir d'échapper à une procédure de
mariage officielle coûteuse ou compliquée, ainsi que des facteurs
économiques et sociaux.
Après l'enlèvement, la victime est souvent isolée de sa famille
et de ses amis, et est souvent soumise à des pressions physiques et
psychologiques pour accepter le mariage. Dans de nombreux cas, la
victime est également violée dans le cadre du processus
d'enlèvement et de captivité.
Conséquences
L'Ala Kachuu a des conséquences dévastatrices sur les victimes,
tant sur le plan physique que psychologique. Les femmes qui sont
enlevées de cette manière sont souvent confrontées à des
traumatismes graves, notamment des problèmes de santé mentale tels
que la dépression et le stress post-traumatique. De plus, ces
mariages forcés peuvent conduire à des relations abusives et à des
mariages précoces, compromettant ainsi les droits et le bien-être
des femmes et des filles.
Réponses
Malgré la reconnaissance internationale de l'Ala Kachuu comme
une violation des droits humains fondamentaux, la pratique persiste
dans certaines régions d'Asie centrale en raison de facteurs
socio-culturels complexes et de l'insuffisance des mesures de
protection et de prévention. Cependant, il existe des efforts
continus, tant au niveau local qu'international, pour sensibiliser
à ce problème, pour renforcer les lois contre l'enlèvement pour
mariage et pour soutenir les victimes.
Des organisations non gouvernementales, des militants des droits
des femmes et d'autres acteurs travaillent à sensibiliser sur les
dangers de l'Ala Kachuu, à fournir un soutien aux victimes et à
plaider en faveur de changements législatifs et sociaux pour
éliminer cette pratique préjudiciable.
Conclusion
L'Ala Kachuu est une pratique culturelle dévastatrice qui
persiste dans certaines régions d'Asie centrale malgré les efforts
pour la combattre. En tant que violation des droits humains
fondamentaux, elle nécessite une réponse urgente et coordonnée des
gouvernements, des organisations internationales, des ONG et de la
société civile pour protéger les femmes et les filles contre cette
forme de violence et pour promouvoir l'égalité des sexes et les
droits de l'homme.
La Sonate des Trilles du Diable, également connue sous le nom de "Sonate en sol mineur pour violon, op. 1, n°4, B.G5", est une composition emblématique du célèbre compositeur et violoniste italien Giuseppe Tartini (1692-1770). Cette pièce remarquable, considérée comme l'une des plus exigeantes du répertoire du violon, a acquis une renommée mondiale non seulement pour sa complexité technique, mais aussi pour l'histoire fascinante qui l'entoure.
La Sonate des Trilles du Diable a été composée par Tartini au
début du XVIIIe siècle, probablement entre 1713 et 1714. Cette
sonate pour violon seul se compose de quatre mouvements : Larghetto
affettuoso, Allegro moderato, Andante et Presto, chacun exigeant
une virtuosité exceptionnelle de la part du violoniste.
Ce qui distingue particulièrement cette sonate, ce sont les
passages de trilles rapides et complexes qui se déploient tout au
long de l'œuvre, d'où son surnom évocateur. Ces trilles, exigeant
une grande dextérité et une précision extrême, représentent un défi
redoutable pour les interprètes, contribuant à la réputation de
l'œuvre en tant que pièce maîtresse du répertoire du violon.
La Légende du Pacte avec le Diable
La légende qui entoure la Sonate des Trilles du Diable ajoute
une dimension mystique à cette œuvre déjà remarquable. Selon la
tradition, Tartini aurait eu un rêve où il aurait conclu un pacte
avec le diable, lui demandant de lui enseigner le violon. Dans ce
rêve, le diable jouait une musique d'une beauté transcendante, dont
Tartini se réveilla profondément inspiré mais aussi frustré par son
incapacité à reproduire ces sons divins.
Pour exprimer sa frustration et sa fascination, Tartini aurait
composé la Sonate des Trilles du Diable, tentant de capturer ne
serait-ce qu'une fraction de la musique qu'il avait entendue dans
son rêve. La sonate est ainsi interprétée comme une représentation
des épreuves et des tourments de Tartini dans sa quête de
perfection musicale, reflétant à la fois la fascination et
l'angoisse de son expérience onirique.
Dans une anecdote légendaire, le musicien a raconté à
l'astronome Jérôme Lalande la genèse de cette incroyable sonate
:
« Une nuit (en 1713), disait-il, je rêvais que j'avais fait
un pacte, et que le Diable était à mon service. Tout me réussissait
au gré de mes désirs, et mes volontés étaient toujours prévenues
par mon nouveau domestique. J'imaginai de lui donner mon violon,
pour voir s'il parviendrait à me jouer quelques beaux airs ; mais
quel fut mon étonnement lorsque j'entendis une sonate si
singulièrement belle, exécutée avec tant de supériorité et
d'intelligence que je n'avais même rien conçu qui pût entrer en
parallèle. J'éprouvai tant de surprise, de ravissement, de plaisir,
que j'en perdis la respiration. Je fus réveillé par cette violente
sensation. Je pris à l'instant mon violon, dans l'espoir de
retrouver une partie de ce que je venais d'entendre ; ce fut en
vain. La pièce que je composais alors est, à la vérité, la
meilleure que j'aie jamais faite, et je l'appelle encore la Sonate
du Diable ; mais elle est tellement au-dessous de celle qui m'avait
si fortement ému, que j'eusse brisé mon violon et abandonné pour
toujours la musique, s'il m'eût été possible de me priver des
jouissances qu'elle me procure. »
Impact Culturel et Héritage
La Sonate des Trilles du Diable est devenue l'une des pièces les
plus emblématiques du répertoire du violon, jouée et étudiée par
des générations de violonistes du monde entier. Son influence
s'étend bien au-delà du monde de la musique classique, inspirant
des adaptations, des hommages et des références dans divers médias
artistiques.
Cette œuvre incarne non seulement la virtuosité et l'expression
émotionnelle caractéristiques de la musique baroque, mais elle
incarne également la puissance du mythe et de la légende dans la
création artistique. La fascination pour l'histoire du pacte avec
le diable a contribué à maintenir vivante la mémoire de Tartini et
de sa musique, ajoutant une couche de mystère et de mysticisme à
son héritage musical déjà impressionnant.
Légende - Photo Андрей Романенко, Public domain, https://en.wikipedia.org/wiki/Violin_Sonata_in_G_minor_(Tartini)#/media/File:Le_Songe_de_Tartini_par_Louis-L%C3%A9opold_Boilly_1824_(color).jpg
En 2008, les États-Unis menaient une guerre en Irak. Des soldats
américains ont, un jour, filmé une mystérieuse soucoupe
volante. L’OVNI faisait des manœuvres extraordinaires. Cet
étrange engin est-il d’origine extraterrestres ? Qu’en
pensez-vous ?
Un fantôme a été découvert sur Google Maps alors qu’il semblait errer dans un cimetière situé dans le New Hampshire, sur la côte Est des États-Unis …
Amy Pendleton a publié une vidéo sur TikTok dans laquelle
elle nous montre une mystérieuse et fantomatique silhouette
dissimulée derrière un mur en pierre. Ce fantôme se trouve dans le
cimetière Gilson de Nashua, une ville du comté de Hillsborough.
Cette silhouette semble être un homme d’âge moyen. Elle regarde
en direction de la caméra.
Le cimetière de Gilson Road est l’un des lieux les plus hantés
du New Hampshire. Situé dans une zone isolée de Nashua, ce
cimetière abrite les restes de plusieurs personnes décédées dans
des circonstances mystérieuses ou tragiques. Certaines histoires
racontent qu’il aurait servi de fosse commune pour des personnes
assassinées ou des suicidées. D’autres disent qu’il est le théâtre
de phénomènes paranormaux, comme des apparitions, des voix, des
sensations de froid ou de malaise.
Le cimetière de Gilson Road date du 18ème siècle et porte le nom
de la famille Gilson, qui possédait les terres environnantes. Parmi
les tombes, on trouve celle de Betsey Gilson, morte en 1791 à l’âge
de 22 ans, et celle de son fils John, mort en 1794 à l’âge de 4
ans. On ignore la cause de leur décès, mais certains pensent qu’ils
ont été victimes d’une maladie ou d’un empoisonnement. D’autres
membres de la famille Gilson sont également enterrés dans le
cimetière, ainsi que des soldats de la guerre d’indépendance et de
la guerre de sécession.
Le cimetière de Gilson Road est réputé pour être hanté par les
esprits de ces défunts, qui se manifestent de différentes manières.
Certains visiteurs ont rapporté avoir vu des ombres, des
silhouettes ou des visages dans le cimetière, surtout la nuit.
D’autres ont entendu des bruits étranges, comme des pleurs, des
rires, des chuchotements ou des cris. Certains ont même ressenti
des contacts physiques, comme des caresses, des pincements ou des
coups.
Sharon Louise Carr (née en 1981), surnommée
également "The Devil's Daughter" ("la fille du diable"), est une
femme britannique tristement célèbre pour être la plus jeune femme
meurtrière de Grande-Bretagne. En juin 1992, alors qu'elle n'avait
que 12 ans, elle a commis un acte choquant en assassinant Katie
Rackliff, âgée de 18 ans, qu'elle a choisie au hasard alors que
cette dernière rentrait chez elle après une soirée en boîte de nuit
à Camberley.
Le cas de Sharon Louise Carr a suscité un vif émoi dans
l'opinion publique britannique et a attiré l'attention des médias à
l'époque. À seulement 12 ans, elle était impliquée dans un crime
d'une gravité extrême, défiant toute compréhension conventionnelle
de la psychologie infantile.
Ce qui est frappant dans l'affaire Carr, c'est non seulement la
jeunesse de l'accusée, mais aussi son apparente absence de remords.
Malgré les années qui ont passé depuis les événements tragiques de
1992, Sharon Louise Carr, désormais âgée de plus de 40 ans, n'a
jamais exprimé de regrets pour son acte impardonnable.
Le génocide perpétré par l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS) en Ukraine entre 1932 et 1933, connu également sous le nom d'Holodomor (de l'ukrainien : Голодомор, littéralement "extermination par la faim"), demeure l'un des chapitres les plus sombres de l'histoire ukrainienne et mondiale. Cette tragédie a été caractérisée par une famine artificielle orchestrée par le régime soviétique, résultant en la mort de millions de personnes, principalement des Ukrainiens.
Dans les années 1920 et 1930, l'URSS était engagée dans une
politique de collectivisation forcée de l'agriculture, dans le
cadre de sa transformation socio-économique vers le socialisme.
Cette politique visait à éliminer la propriété privée des terres et
à collectiviser la production agricole sous le contrôle de l'État.
L'Ukraine, surnommée le "grenier à blé de l'Union Soviétique",
était particulièrement visée en raison de sa forte production
céréalière.
Déclenchement de la famine
En 1932, les autorités soviétiques, dirigées par Joseph Staline,
mirent en œuvre des politiques économiques brutales dans le but de
contraindre les paysans ukrainiens à rejoindre les fermes
collectives. Ces politiques comprenaient la réquisition forcée des
récoltes et du bétail, ainsi que des quotas de production
inatteignables imposés aux paysans. Les fermiers qui s'opposaient à
ces mesures étaient sévèrement réprimés, leurs terres confisquées
et souvent déportés ou exécutés.
La famine
En conséquence de ces politiques, une famine de grande ampleur
éclata en Ukraine en 1932-1933. Les paysans se retrouvèrent privés
de leurs moyens de subsistance, incapables de nourrir leurs
familles. Des rapports de l'époque documentent des cas de
cannibalisme, alors que les gens désespérés cherchaient
désespérément à survivre. Malgré la famine qui sévissait, Staline
et les autorités soviétiques refusèrent d'admettre la crise,
refusant toute aide internationale et interdisant aux Ukrainiens de
quitter la région pour trouver de la nourriture ailleurs.
Réaction internationale
La communauté internationale, bien que consciente des
souffrances en Ukraine, fut largement silencieuse face à la famine
délibérée orchestrée par l'URSS. Certains pays comme les États-Unis
et le Royaume-Uni envoyèrent de l'aide humanitaire, mais elle fut
souvent bloquée par le gouvernement soviétique ou insuffisante pour
répondre à l'ampleur de la crise.
Bilan humain
Le bilan humain exact de l'Holodomor demeure sujet à débat en
raison de la censure et de la propagande soviétiques de l'époque.
Cependant, il est estimé que plusieurs millions de personnes ont
péri en Ukraine pendant cette période, faisant de l'Holodomor l'un
des plus grands génocides de l'histoire.
Reconnaissance et commémoration
Après la dissolution de l'URSS en 1991, l'Ukraine ainsi que de
nombreux autres pays ont reconnu officiellement l'Holodomor comme
un acte de génocide perpétré par le régime soviétique. Des
mémoriaux ont été érigés en Ukraine et dans le monde entier pour
commémorer les victimes de cette tragédie.
Conclusion
Le génocide en Ukraine de 1932-1933 demeure un témoignage
poignant des horreurs du totalitarisme et des conséquences
dévastatrices des politiques gouvernementales sur les populations
vulnérables. L'Holodomor reste un rappel crucial de la nécessité de
préserver les droits de l'homme et de résister à l'oppression, où
qu'elle se manifeste dans le monde.
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